La marche et le vote
Le samedi 9 avril, j’étais sur la colline parlementaire, en compagnie de plus de 10 000 Canadiens et Canadiennes de plusieurs ethnies et de plusieurs religions. Un bon nombre de mes concitoyens étaient venus de Toronto, de Montréal et d’ailleurs manifester leur attachement au mariage traditionnel dans une Marche pour le mariage boudée ou dénaturée par les médias, comme il fallait s’y attendre. Mon journal, LeDroit, a fait exception à la règle.
Notre message au gouvernement et à la nation était clair: nous ne voulons pas qu’on affaiblisse le tissu social en dénaturant une institution qui précède dans le temps toutes les autres institutions du monde moderne. J’étais fier de mon évêque Mgr Marcel Gervais, qui n’a pas mâché ses mots. Un autre orateur, monsieur Stephen Harper, en a profité pour attaquer énergiquement le parti et la personne de monsieur Paul Martin, mais je retiens surtout de ses propos que si le parti conservateur est porté au pouvoir, il rétablira le mariage selon sa définition traditionnelle.
Le mardi le 12 fut un jour sombre pour la Chambre des communes et pour le Canada tout entier. Les élus du peuple ont trahi le peuple en acceptant le projet de loi C-38 qui, s’il est ratifié, permettra aux personnes de même sexe de convoler en justes noces! La conjoncture politique est toutefois telle qu’il est possible, sinon probable, que le gouvernement libéral soit renversé prochainement, vu l’ampleur des révélations scandaleuses entachant le parti libéral que la commission Gomery a suscitées. Le plus tôt serait le mieux, car le gouvernement actuel prend des mesures pour accélérer la passage de la loi néfaste au mariage.
C’est dire que la guerre n’est pas finie, qu’elle soit se continuer sur les fronts spirituel et politique. S’il faut élire un gouvernement conservateur pour conserver la définition actuelle du mariage, il faudra le faire. Il est toujours temps de prier et d’agir vigoureusement.
Notre message au gouvernement et à la nation était clair: nous ne voulons pas qu’on affaiblisse le tissu social en dénaturant une institution qui précède dans le temps toutes les autres institutions du monde moderne. J’étais fier de mon évêque Mgr Marcel Gervais, qui n’a pas mâché ses mots. Un autre orateur, monsieur Stephen Harper, en a profité pour attaquer énergiquement le parti et la personne de monsieur Paul Martin, mais je retiens surtout de ses propos que si le parti conservateur est porté au pouvoir, il rétablira le mariage selon sa définition traditionnelle.
Le mardi le 12 fut un jour sombre pour la Chambre des communes et pour le Canada tout entier. Les élus du peuple ont trahi le peuple en acceptant le projet de loi C-38 qui, s’il est ratifié, permettra aux personnes de même sexe de convoler en justes noces! La conjoncture politique est toutefois telle qu’il est possible, sinon probable, que le gouvernement libéral soit renversé prochainement, vu l’ampleur des révélations scandaleuses entachant le parti libéral que la commission Gomery a suscitées. Le plus tôt serait le mieux, car le gouvernement actuel prend des mesures pour accélérer la passage de la loi néfaste au mariage.
C’est dire que la guerre n’est pas finie, qu’elle soit se continuer sur les fronts spirituel et politique. S’il faut élire un gouvernement conservateur pour conserver la définition actuelle du mariage, il faudra le faire. Il est toujours temps de prier et d’agir vigoureusement.
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