Les valeurs de base
La semaine médiatique sur la scène politique canadienne a été haute en couleur. Un vote brûlant a permis à M. Martin et les libéraux de conserver le pouvoir pour quelques mois encore. J’aurais préféré qu’il fut défait, parce que de cette manière le projet de loi C-38 serait mort au feuilleton. Certains diront avec raison que d’autres projets de loi fort louables seraient aussi morts au feuilleton. J’ose croire que les projets valables auraient pu être ressuscités sous un autre gouvernement, mais que celui de la re-définition du mariage serait morte de sa belle mort, comme le promettait M. Harper.
Je suis mal à l’aise avec le jeu politique des alliances de partis. Je trouve que chaque personne en politique devrait toujours pouvoir voter librement, selon sa conscience (et non selon la ligne dure du parti), afin d’assurer les meilleures décisions possibles. Les compromis au niveau des valeurs fondamentales ne servent pas le Bien commun. Les valeurs morales et les principes de la loi naturelle doivent informer la vie privée et la vie publique.
Le tissu social est fragile et je voudrais que toutes les décisions de nos élus le protègent et le solidifient. S’il s’agit de choisir un candidat pour représenter mon comté, je vais chercher un homme intègre et compétent, plutôt qu’un partisan. C’est étroit comme perspective, mais je tiens à ce que mon candidat ait les mêmes valeurs de base que moi. Je tiens à ce qu’il mette en pratique les Commandements et qu’il ne fasse pas de distinction entre le domaine public et le domaine moral. Les féministes et les homosexuels votent bien pour ceux qui épousent leurs valeurs, pourquoi les chrétiens ne feraient-ils pas la même chose?
Je suis un fidèle qui croit et essaye de pratiquer l’enseignement intégral de l’Église catholique. Certains diront que je suis un conservateur social. Si croire aux valeurs chrétiennes de la dignité de la personne, de la sainteté de la vie, de la pérennité des Dix Commandements, m’identifie comme faisant partie d’une certaine droite, soit. Je préfère me poser comme centriste, héritier de l'humanisme chrétien et biblique. L’être humain étant à la fois social, biologique et spirituel, il ne faut pas séparer ce que Dieu a uni. Je suis d’abord un croyant qui tient à ne pas être un demi-croyant, qui veut accueillir tout le dépôt de la foi transmis par l’Écriture, dans l’Église, sous la mouvance de l’Esprit.
La vie est compliquée et mes connaissances limitées, mais il me semble qu’il y a des valeurs absolues pour lesquelles il vaut la peine de lutter. La tolérance et le relativisme ont des limites. Pourquoi laisser fouler nos valeurs aux pieds par les autres alors que les autres tiennent à ce que nous les respections dans leurs aberrations?
Je suis mal à l’aise avec le jeu politique des alliances de partis. Je trouve que chaque personne en politique devrait toujours pouvoir voter librement, selon sa conscience (et non selon la ligne dure du parti), afin d’assurer les meilleures décisions possibles. Les compromis au niveau des valeurs fondamentales ne servent pas le Bien commun. Les valeurs morales et les principes de la loi naturelle doivent informer la vie privée et la vie publique.
Le tissu social est fragile et je voudrais que toutes les décisions de nos élus le protègent et le solidifient. S’il s’agit de choisir un candidat pour représenter mon comté, je vais chercher un homme intègre et compétent, plutôt qu’un partisan. C’est étroit comme perspective, mais je tiens à ce que mon candidat ait les mêmes valeurs de base que moi. Je tiens à ce qu’il mette en pratique les Commandements et qu’il ne fasse pas de distinction entre le domaine public et le domaine moral. Les féministes et les homosexuels votent bien pour ceux qui épousent leurs valeurs, pourquoi les chrétiens ne feraient-ils pas la même chose?
Je suis un fidèle qui croit et essaye de pratiquer l’enseignement intégral de l’Église catholique. Certains diront que je suis un conservateur social. Si croire aux valeurs chrétiennes de la dignité de la personne, de la sainteté de la vie, de la pérennité des Dix Commandements, m’identifie comme faisant partie d’une certaine droite, soit. Je préfère me poser comme centriste, héritier de l'humanisme chrétien et biblique. L’être humain étant à la fois social, biologique et spirituel, il ne faut pas séparer ce que Dieu a uni. Je suis d’abord un croyant qui tient à ne pas être un demi-croyant, qui veut accueillir tout le dépôt de la foi transmis par l’Écriture, dans l’Église, sous la mouvance de l’Esprit.
La vie est compliquée et mes connaissances limitées, mais il me semble qu’il y a des valeurs absolues pour lesquelles il vaut la peine de lutter. La tolérance et le relativisme ont des limites. Pourquoi laisser fouler nos valeurs aux pieds par les autres alors que les autres tiennent à ce que nous les respections dans leurs aberrations?
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